La langue française a toujours eu une place importante parmi les langues. D’abord symbole de culture et de créativité elle a ensuite été vecteur de démocratie, d’humanisme et de diversité culturelle et linguistique qui compose le monde.

Célébrer la Francophonie, c’est …

  • reconnaître le potentiel de la langue et de la culture à unir les peuples, à créer des espaces de solidarité et de compréhension mutuelle
  • réfléchir ensemble à un avenir commun
  • placer la culture et la langue au fondement de tout effort durable pour la paix et le développement
300 millions de francophones dans le monde
88 états et gouvernements à l’OIF
132 millions d’apprenants du et en français
5e langue mondiale

De la naissance de la coopération francophone jusqu’à aujourd’hui

https://www.youtube.com/watch?v=UFrxqIqA6qI&feature=emb_title

A la fin des années 1960, les pères fondateurs de la Francophonie institutionnelle – Léopold Sédar Senghor (président sénégalais) et ses homologues tunisien, Habib Bourguiba et nigérien, Hamani Diori, ainsi que le Prince Norodom Sihanouk du Cambodge – ont souhaité mettre le français au service de la solidarité, du développement et du rapprochement entre les peuples.

C’est là tout l’objet de la signature à Niamey, le 20 mars 1970, par les représentants de 21 États et gouvernements, de la Convention portant création de l’Agence de coopération culturelle et technique (ACCT) : une nouvelle organisation intergouvernementale fondée sur le partage d’une langue commune, le français, chargée de promouvoir et de diffuser les cultures de ses membres et d’intensifier la coopération culturelle et technique entre eux. 

Le projet francophone a sans cesse évolué depuis la création de l’ACCT devenue, en 2005, l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Au fil des années, l’Organisation s’est structurée, s’est modernisée, a renouvelé et enrichi ses actions politiques et de coopération, ses réseaux, ses partenaires. Elle est aujourd’hui devenue un acteur multilatéral important et un modèle de diversité.

Sources (textes et images) : UNESCO, OIF